Vous n’êtes pas venus au monde pour rester seuls de Eivind Hofstad Evjemo
« Le deuil est comme un bateau lourd à manœuvrer. Il faut ramer et écoper en même temps. Le plus important, c’est de cultiver la solidarité. (…) Le bonheur qu’elle éprouve a un rapport avec le temps, elle le sait. Il vient d’une concordance entre autrefois et aujourd’hui, d’un sentiment d’éternité, d’immuabilité : ce qui vit englobe ce qui a disparu. C’est le sentiment qui, pour elle, se rapproche le plus d’une foi religieuse »
Dans la série des livres de la rentrée, je viens de terminer cet ouvrage du norvégien Evjemo, traduit pour la première fois en France.
Le titre à lui seul est rempli de promesses, et a justifié en grande partie son acquisition.