Le musée Nissim de Camondo

Comprenant assez rapidement que je rêverais de travailler sur une table Louis XVI avec une jolie lampe de bibliothèque plutôt que sur cet affreux mobilier dont on nous gratifie dans les entreprises, mon patron bien-aimé m’a chaudement recommandé  à plusieurs reprises d’aller visiter le musée Nissim de Camondo qui se trouve être à deux pas de nos bureaux.

Je connaissais déjà le magnifique musée Jacquemart-André qui est également dans mon quartier professionnel et dont j’ai eu l’occasion de parler dans un précédent billet, mais, me disait-il, le musée Nissim de Camondo devrait vous plaire davantage.

Profitant d’une accalmie professionnelle, je me suis donc offerte aujourd’hui une escapade méritée entre midi et deux pour aller dans ce lieu tant vanté, en compagnie d’un de mes amis et néanmoins collègue de travail (le fameux homme mythique).

Et ô combien il a eu raison !

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Vernissage éphémère sur la Péniche du Cercle de la Mer

Il y a des personnes qui ont cette qualité remarquable de savoir rassembler de gens de tout horizon afin de mettre à l’honneur ceux qui leur sont chers, et c’est le cas de ma flamboyante amie Valérie qui, le temps d’une soirée, a organisé un vernissage éphémère sur la péniche du Cercle de la mer, afin de nous présenter un peintre de la région de ses vacances : Christian Fanelli.

Christian Fanelli, c’est un peintre bien connu des habitants et des touristes du Sud-Ouest, et en particulier du Médoc où on peut découvrir ses œuvres, aquarelles et acrylique, dans son atelier-galerie de Lesparre.

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L’intimité de Rembrandt au musée Jacquemart-André

Il y a des endroits où l’on se sent d’emblée merveilleusement bien, surtout quand architecture, décors, histoires, vieilles pierres viennent délicieusement réveiller votre imagination et vous transporter en un rien de temps vers d’autres sphères. Les théâtres en particulier me font cet effet là, mais il y a lieu que j’aime tout particulièrement à Paris qui est le Musée Jacquemart-André.
Hôtel particulier du XIXeme, en retrait du boulevard Haussmann, ce musée fut autrefois la demeure des époux André-Jacquemart, inlassables collectionneurs, et fut légué à la mort de Nelly Jacquemart à l’Institut de France avec pour mission de ne rien y toucher.

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