Hommage à Peter May
La sortie du dernier livre de Peter May, L’Ile au rébus, chez Rouergue, me donne l’occasion de rendre hommage à ce formidable écrivain qui fait date dans ma famille.
Il y a des auteurs comme cela qui, quoiqu’ils écrivent, quoiqu’ils publient, se lisent sans se poser de question, et Peter May, tout comme notamment Michael D. O’Brien dont j’ai pu parler dans un précédent billet, fait partie de ceux-là.
Ses livres pris isolément ne sont pas tous des chefs-d’œuvre, mais quand on aime un écrivain, il me semble qu’il n’y a plus lieu de hiérarchiser ou de quantifier, et chaque nouvelle parution est une promesse de bonheur de lecture. J’ai donc tout naturellement dévoré son dernier livre ce week-end et me voici donc ce soir à l’essai pour tenter de lui rendre hommage.